Le Cameroun a (fortement) trébuché, pendant cette élection présidentielle, mais il n’est pas tombé. Il reste debout mais demande à (vite) solidifier ses attaches et sa position. Cette victoire de la nation sur ses ennemis visibles et cachés n’est pas un quitus pour le président-sortant pour que les choses continuent comme avant. Le pays irait droit vers la catastrophe. Camerounais de naissance et de nationalité, bien que vivant hors du pays depuis 42 ans, le professeur, Paul Tédga, formule dans l’éditorial à suivre, des propositions, qui n’arrangent personne ni aucun camp politique, mais qui permettraient de faire gagner le Cameroun, dans cette période de grande incertitude.
